Aboul Gheit reçoit une délégation du Sénat français

Ashraf AboArafe

M. Ahmed Aboul Gheit, Secrétaire général de la Ligue des États arabes, a reçu aujourd’hui, mardi 17 décembre, au siège du Secrétariat général, une délégation de la Commission des affaires étrangères et de la défense du Sénat français, présidée par M. François Bannot, membre du Conseil, dans le cadre de la visite de la délégation au Caire.

Gamal Rushdi, porte-parole officiel du Secrétaire général, a déclaré qu’Aboul Gheit s’est félicité de la visite de la délégation française au siège de l’université, soulignant les relations politiques, économiques et populaires étendues qui unissent la région arabe et la France, basées sur l’histoire les liens qui unissent les deux parties dans de nombreux domaines et les relations distinguées qui existent entre elles au niveau des mécanismes officiels, populaires et importants de coopération et de coordination sur les questions régionales et internationales d’intérêt commun.

 Dans ce contexte, le Secrétaire général a souligné la grande importance que la partie arabe attache à la reconnaissance par le gouvernement français de l’État palestinien indépendant aux frontières du 4 juin 1967, car cela est conforme au rôle de leadership de la France en Europe et représente un étape importante vers le renforcement de la solution à deux États et sa mise en œuvre sur le terrain.

Rushdi a ajouté que la délégation souhaitait connaître les vues du Secrétaire général concernant les développements récents de la situation en Syrie, au Liban et sur la question palestinienne, en particulier la guerre dans la bande de Gaza, tandis que la délégation examinait les dernières positions sur un nombre de questions internationales et régionales. La délégation française, à son tour, a tenu à valoriser les relations de son pays avec les pays arabes, soulignant l’importance de travailler au cours de la prochaine phase pour œuvrer à la réalisation de la stabilité dans la région, pour améliorer ces relations du tout. niveaux et leur volonté d’élargir la portée de la coopération politique. Et l’économique.